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Société
"Tout est possible à celui qui croit". Cette citation biblique, tirée de l'Evangile selon Marc (Mc 9, 23), exprime l'idée selon laquelle la foi, même toute petite comme un grain de sénevé, peut accomplir des choses considérées comme impossibles aux yeux des humains.
Cette croyance…
Culture
Forum éco
éditorial
Les proches de Fatshi tombent un à un : à qui sera le prochain tour ?
19 juin, 2025
Un malaise subtil mais perceptible s'installe dans les couloirs du pouvoir à Kinshasa. Récemment, les personnalités de confiance qui ont entouré le président Félix Tshisekedi semblent disparaître de la scène les unes après les autres. La question que personne n'ose vraiment éviter se pose aujourd'hu…
Enjeux de l’heure
* Judith Suminwa salue des échanges riches et constructifs pour le bien-être de la population.
Il a fallu deux journées d’intenses débats pour voir la Chambre basse du Parlement déclarer…
Étranger
Le Royaume du Maroc abrite, ce jeudi à Rabat, la Conférence ministérielle africaine sur le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration (DDR) des enfants soldats…
Nation
Le vice-Premier ministre, ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants, Me Guy Kabombo Muadiamvita, a reçu, hier mercredi 19 novembre, l’ambassadeur de la Fédération de Russie en…
Kalemie : au moins sept cas de féminicide en l'espace de trois mois
À Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika, la violence conjugale prend de l'ampleur dans des foyers. Il s'agit du féminicide, connu comme un meurtre commis par un homme contre sa femme. Selon le rapport de la Nouvelle Dynamique de la Société Civile parvenu à Forum des As ce mercredi 19 novembre, au moins sept cas ont été enregistrés au cours de ces trois derniers mois.
Mardi 18 novembre, un homme a abattu sa femme d'un coup de machette, au quartier Mulengi, commune de Lukunga, dans la ville de Kalemie. Elle est morte sur le champ. La victime laisse derrière elle 9 orphelins. La société civile condamne ce crime, "qui ôte la vie à un être humain".
La ville de Kalemie fait face à une montée de la violence conjugale. Pour la plupart des cas, les hommes utilisent des machettes ou d'autres armes blanches pour exécuter leurs épouses. La société civile appelle les instances judiciaires à se saisir de ce 7ème cas de féminicide, pendant ces trois derniers mois, afin de sanctionner de manière exemplaire le responsable.
Patient MUBIAYI MBY depuis Lubumbashi