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" Bosepelaka nanga na elongi. Na mukongo botongaka nga !", traduit du lingala '' Vous m'appréciez en face. Derrière (moi), vous me critiquez !'' dénonce le messager du jour. Une dénonciation de la situation qui reflète la vie quotidienne de la société congolaise en particulier.…
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Pas de performance avec une justice pauvre
12 novembre, 2024
A la clinique du Centre Financier de Kinshasa, « la justice congolaise passe au crible du « corps médical » de la République. Etalée sur le brancard du pavillon réservé aux patients alités, elle est l’objet de diagnostics des « médecins de tout acabit« .
Chacun, après examen de labo…
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L’élection de la République démocratique du Congo et de la Somalie comme membres non permanents du Conseil de sécurité des Nations unies pour la période 2026-2027 continue de susciter des…
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Les pensées pentecôtistes ont été à la base de la restauration et du développement des communautés. Actes 2:1 «Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous…
Christian Mwando : » Le choix du porte-parole de l’opposition appartient uniquement à l’opposition «
Dans une intervention sur les ondes de Top Congo FM, Christian Mwando Nsimba, président du groupe parlementaire Ensemble pour la République, a clarifié la polémique autour de la désignation du porte-parole de l’opposition.Face aux accusations de manipulation ou d’ingérence extérieure, l’élu de Moba, dans la province du Tanganyika, a tenu à préciser que ce processus reste l’affaire exclusive de l’opposition.
» Le président Félix Tshisekedi n’a rien à voir dans la désignation du porte-parole de l’opposition. J’ai toujours dit que celui qui aura la main dans ce processus, c’est Moïse Katumbi « , a-t-il insisté.
Christian Mwando a rappelé avoir initié des démarches, en sa qualité de président du groupe parlementaire Ensemble pour la République, pour permettre à l’opposition de désigner son porte-parole de manière concertée. » J’ai demandé aux présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat de réunir les sénateurs et députés de l’opposition. L’objectif est de valider ensemble un règlement intérieur, puis de procéder à l’élection du porte-parole « , a-t-il expliqué.
Réagissant aux critiques selon lesquelles il chercherait à désorienter l’opposition, Mwando a rejeté toute accusation d’intérêts personnels. » Contrairement à ce qui se dit, comme quoi Mwando négocie avec la majorité… cette affaire ne concerne nullement la majorité, nullement le président de la République. Elle ne concerne que l’opposition « , a-t-il affirmé avec insistance.
Un homme d’État fidèle à ses convictions
Se défendant de tout opportunisme, l’ancien ministre du Plan a souligné son intégrité et sa fidélité aux valeurs de son parti politique. » Il y a quelque chose de très important qu’il faut considérer : Christian Mwando est un homme d’État. J’ai démissionné du gouvernement Sama par conviction et en concertation avec la direction de mon parti « , a-t-il rappelé, en référence à sa décision de quitter le gouvernement pour des raisons qu’il estime alignées avec ses principes.
La question de la désignation du porte-parole de l’opposition intervient dans un contexte de tensions politiques. L’Opposition congolaise, actuellement mobilisée contre toute tentative de révision ou de changement de la Constitution, cherche à préserver son unité face aux défis politiques et institutionnels.
Pour Mwando, il est impératif que l’élection du porte-parole se déroule dans la transparence et reflète la volonté de l’ensemble des forces d’opposition. » Ne sera porte-parole que celui qui sera élu par les députés et sénateurs de l’opposition « , a-t-il conclu.
Christian-Timothée MAMPUYA