Dernière minute
Société
La capitale congolaise s'est réveillée jeudi 5 juin au rythme d'un engagement collectif. Un souffle nouveau parcourt la capitale. A l'heure où le monde entier célébrait la Journée internationale de l'environnement, Kinshasa n'était pas en reste. En première ligne, la Régie d'Assainissement de…
Culture
Forum éco
Caricature
Enjeux de l’heure
Vingt-cinq ans après les affrontements meurtriers entre les armées rwandaise et ougandaise en pleine ville de Kisangani, un documentaire émouvant, intitulé " La Guerre des 6 Jours à Kisangani ", a…
Étranger
Meng Fanzhe, journaliste au Quotidien du Peuple
Il n'y a pas longtemps, le premier semi-marathon du monde de la « course conjointe homme-robot » s’est terminé avec succès à Beijing.…
Une soixantaine de suspects arrêtés à Binza Ozone jugés en procédure de flagrance au TGI/Gombe
Le vendredi 2 août, le tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe a ouvert le procès de 65 membres de la » Force du Progrès « .Ces prévenus font partie d’un groupe de 137 personnes arrêtées deux jours plus tôt par les forces de l’ordre.
Au cœur de cette affaire se trouve Ngandu Wa Ngandu Kennedy, alias « Anti-balle », le chef présumé du groupe. Les accusés font face à des accusations tels que : participation à des actes de violence, pillage, tentative de déguerpissement forcé de l’immeuble Kamul Inter, et attaque de la résidence de l’ancien président Joseph Kabila dans la commune de la Gombe.
Avant de se réunir en chambre du conseil, le tribunal a ouvert le procès en procédant à l’identification des prévenus. Sur les 65 individus, seulement 22 ont pu être identifiés. En raison du manque d’éclairage et de conditions de sécurité précaires, le tribunal a décidé de renvoyer la suite du procès à lundi pour permettre une meilleure procédure.
Ces arrestations font suite à une opération policière menée dans la nuit du 31 juillet au quartier Binza Ozone, dans la commune de Ngaliema. Les forces de l’ordre ont investi la base de la Force du Progrès, saisissant une centaine de machettes et un drone en mauvais état.
Christian-Timothée MAMPUYA