Dernière minute
Société
La capitale congolaise s'est réveillée jeudi 5 juin au rythme d'un engagement collectif. Un souffle nouveau parcourt la capitale. A l'heure où le monde entier célébrait la Journée internationale de l'environnement, Kinshasa n'était pas en reste. En première ligne, la Régie d'Assainissement de…
Culture
Forum éco
Caricature
Enjeux de l’heure
Vingt-cinq ans après les affrontements meurtriers entre les armées rwandaise et ougandaise en pleine ville de Kisangani, un documentaire émouvant, intitulé " La Guerre des 6 Jours à Kisangani ", a…
Étranger
SEOUL, 29 mai (Yonhap) -- L'industrie coréenne de l'automobile devrait pâtir plus que les autres secteurs économiques de l'imposition par les Etats-Unis de surtaxes douanières, a estimé jeudi la…
DANS UN MÉMORANDUM ADRESSÉ À JEAN-PIERRE DE LA CROIX : La famille politique de Joseph Kabila fustige la dégradation de la situation sécuritaire et le carnage à la prison de Makala
Les représentants du Front commun pour le Congo (FCC) ont dans un mémorandum, fustigé la dégradation de la situation sécuritaire en général au Congo et en particulier, le massacre à la prison centrale de Makala. C’était lors de la rencontre avec le Secrétaire général adjoint de l’Organisation des nations unies (ONU), chargé des opérations de maintien de la paix, Jean-Pierre Lacroix, le mardi 17 septembre.
« Le FCC déplore la dégradation de la situation sécuritaire de manière continue sur toute l’étendue du territoire national, ainsi que les violations massives, devenues quasi quotidiennes, des droits de l’homme, marquées notamment par les menaces, intimidations, tentatives d’assassinat et assassinats dont sont victimes ses membres, singulièrement ses cadres, ainsi que d’autres compatriotes aussi bien de l’opposition que de la Société civile« , renseigne le document.
Le regroupement politique cher au président honoraire, Joseph Kabila a dénoncé le massacre perpétré au Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (CPRK), la nuit du 1er au 2 septembre avec un bilan officiel revu à la hausse, soit de 129 à 131 morts.
Une forme de « dictature » a été instaurée par la Fatshiphère qui ne veut pas entendre toute voix dissidente et empêche les Congolais d’exercer leurs libertés fondamentales garanties par la constitution du 18 février 2006.
« Le FCC dénonce la volonté manifeste du régime pour réduire ses membres ainsi que toute autre voix dissidente au silence et empêcher aux Congolais d’exercer leurs libertés fondamentales« , poursuit le document.
Par ailleurs, l’émissaire de l’ONU a assuré l’opposition de son engagement à travailler en synergie avec toutes les parties prenantes. Ce, en vue de trouver une solution pacifique à la situation politique du pays avec en ligne de mire l’agression sur fond d’occupation de la partie orientale du pays par les terroristes du Mouvement du 23 mars (M23) soutenus par Kigali.
Gloire BATOMENE