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Un drame s’est produit dans la journée d’hier mardi 11 novembre dans le territoire de Nyunzu. Trois personnes ont été tuées lors d’une incursion d’un groupe de bandits se réclamant de Wazalendo dans une concession minière exploitée par des ressortissants chinois, au Tanganyika.
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Quarante ans après la visite historique du président israélien Chaim Herzog, son fils et successeur à la magistrature suprême de l’État d’Israël, Isaac Herzog, a foulé hier mardi le sol congolais…
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Sur Ordre de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, une réunion présidée par les Conseillers de Sa Majesté le Roi, MM. Taib Fassi Fihri, Omar Azziman et Fouad Ali El Himma, a eu lieu lundi 10 novembre…
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Chrétien affermi, évangéliste engagé, Colin Nzolantima s’interroge sur les raisons des échecs des chrétiens dans le monde politique et dans nombre de secteurs de la société (économie…
Affaire AFC : Constant Mutamba annonce des mandats d’arrêt internationaux contre Corneille Nangaa et ses complices
Le gouvernement congolais a annoncé son intention de lancer des mandats d’arrêt internationaux contre Corneille Nangaa, ancien président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), et certains de ses complices. Cette décision fait suite au verdict prononcé hier jeudi 8 août par la Cour militaire de Kinshasa/Gombe, condamnant ces individus à la peine de mort par contumace pour des crimes graves.
Corneille Nangaa et ses co-accusés ont été reconnus coupables de graves crimes, dont des crimes de guerre, la participation à un mouvement insurrectionnel et la trahison. A l’issue de l’audience tenue à Ndolo, le ministre d’État chargé de la Justice, Constant Mutamba, a annoncé que le gouvernement entend coopérer avec des pays partenaires pour faciliter l’extradition des condamnés, une fois localisés.
Selon le ministre Mutamba, » nous allons lancer des mandats d’arrêt international pour les appréhender. Nous coopérerons avec certains pays avec lesquels nous avons des accords de coopération judiciaire afin que, partout où ils se trouvent, puisque désormais condamnés par la justice, ils soient appréhendés, arrêtés et extradés immédiatement en RDC pour purger leurs peines« . Le Ministre a également précisé que tous les biens des condamnés seront confisqués et intégrés au patrimoine de l’État congolais.
Pour les prévenus se trouvant sur le sol congolais, le droit d’appel dans un délai de 5 jours est confirmé. Seuls 5 des 26 accusés ont comparu physiquement lors du procès. Cette affaire qui agite la classe politique congolaise depuis plusieurs mois semble donc loin d’être close, s’il faut faire foi aux déclarations du ministre de la Justice.
Christian-Timothée MAMPUYA