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Le port de perruque, autrefois symbole de coquetterie, a pris une dimension socioculturelle à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.
"Entre quête de beauté, pression esthétique et affirmations identitaires, la perruque devient à la fois…
Culture
Forum éco
éditorial
Pas de performance avec une justice pauvre
12 novembre, 2024
A la clinique du Centre Financier de Kinshasa, « la justice congolaise passe au crible du « corps médical » de la République. Etalée sur le brancard du pavillon réservé aux patients alités, elle est l’objet de diagnostics des « médecins de tout acabit« .
Chacun, après examen de labo…
Enjeux de l’heure
"Le monde et l'Église viennent de perdre un vrai serviteur de Dieu. Un homme de foi, de paix et d'amour. Un allié infatigable pour le retour d'une paix durable en RDC". C'est en ces termes que la…
Étranger
Paris – Le Président de la République française, M. Emmanuel Macron, s’est félicité du lancement, jeudi à Rabat, par Sa Majesté le Roi Mohammed VI des travaux de réalisation de la Ligne à Grande…
Nation
La Coalition nationale de l’éducation pour tous (Conept-RDC) a organisé hier jeudi 24 avril 2024 à Kinshasa, une réunion de concertation et un briefing de presse pour annoncer le lancement…
REPRISE DES COURS DIFFICILE DANS LES ECOLES SECONDAIRES PUBLIQUES, Tshikapa : les enseignants accusés de négligence
La reprise des cours dans les écoles secondaires publiques de Tshikapa connaît des difficultés depuis la fin des épreuves du premier semestre. Selon les informations recueillies, certaines écoles fonctionnent au ralenti, avec des enseignants absents ou peu impliqués, ce qui perturbe l’apprentissage des élèves.
Plusieurs raisons sont avancées pour expliquer cette situation. Certains chefs d’établissement évoquent un manque de motivation des élèves, tandis que d’autres pointent du doigt les périodes de stage, qui ne concernent pourtant que les élèves en classes terminales.
Cependant, les accusations les plus graves proviennent des élèves eux-mêmes. Ils reprochent à leurs enseignants de délaisser les cours pour se rendre fréquemment dans les banques afin de retirer leurs bourses du Programme d’appui à l’amélioration de la fonction enseignante (PAAF).
«Nous venons chaque jour en classe, mais nous n’étudions pas. Les professeurs et les préfets nous disent qu’ils doivent aller retirer leurs bourses à la banque», a confié un élève de troisième année des humanités d’une école publique de Tshikapa.
Cette situation a suscité l’inquiétude des parents d’élèves, qui redoutent les conséquences sur la qualité de l’enseignement et les résultats scolaires de leurs enfants. Ils appellent les autorités compétentes à intervenir rapidement pour rétablir un fonctionnement normal des écoles.
Félix MULUMBA