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Les familles BIAYI Jean LUPEPA et LUPAKA ainsi que leurs enfants ont la profonde douleur d'annoncer la mort de la maman Elisabeth NTUMBA MAZANGA. Décès survenu à Kinshasa le 2 juin 2025 aux Cliniques Ngaliema.
Le deuil se tient à la résidence familiale sise avenue MBAVU n°37, à…
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Le président Félix Tshisekedi a lancé un appel direct aux gouverneurs de province, les invitant à élaborer des stratégies concrètes pour optimiser le déploiement de la Couverture santé universelle…
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De l'Asie du Sud-Est à l'Europe, en passant par les États-Unis et le Moyen-Orient, Labubu – l'adorable personnage de la société chinoise de jouets Pop Mart – conquiert le monde à une…
Nation
(Méditation citoyenne poétique de Frank FIKIRINI MWENE-MBAYU)
Je suis un âne
Innommable et méconnaissable
Tant les années de misères
M’ont épuisé et assombri le visage…
Le faux procès contre Bahati fait pschitt !
Le bureau du Sénat a donné une suite favorable au réquisitoire du Procureur général près la Cour constitutionnelle. Avec cette autorisation, le faux procès en loyauté contre le speaker de la Haute assemblée -intenté et instruit uniquement à charge- fait pschitt. Modeste Bahati vient de donner la preuve qu’il respecte à la lettre les deux bréviaires de tout parlementaire que sont la Constitution de la République et le Règlement intérieur.
Président du Sénat, MBL n’entend pas transiger avec l’abc de l’Etat de droit. Lui qui a payé au prix fort son attachement au respect des textes. Pour ce rescapé de l’intolérance et de l’arbitraire , la meilleure manière de soutenir le Président de la république et de faire de l’Union sacrée un espace de démocratie et de primat de la loi est de respecter tous les textes qui régissent le pays. Lorsqu’il y a peu, le Sénat avait rejeté l’autorisation des poursuites contre le même Matata dans le dossier » Bukanga-Lonzo « , Modeste Bahati ne pouvait s’opposer au verdict de sa chambre. Lui qui n’est qu’un primus inter pares. Il ne lui appartenait guère d’imposer ses vues à ses autres collègues. Tout en demeurant loyal au chef de l’Etat, le speaker du Sénat se doit de respecter et de faire respecter les règles du jeu. Il y va de l’image du Parlement et plus largement des institutions congolaises. De deux choses, l’une. Ou l’on se bat pour l’avènement d’un Etat de droit ou l’on œuvre pour perpétuer le régime de l’arbitraire.
J.N.