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" Bosepelaka nanga na elongi. Na mukongo botongaka nga !", traduit du lingala '' Vous m'appréciez en face. Derrière (moi), vous me critiquez !'' dénonce le messager du jour. Une dénonciation de la situation qui reflète la vie quotidienne de la société congolaise en particulier.…
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L’élection de la République démocratique du Congo et de la Somalie comme membres non permanents du Conseil de sécurité des Nations unies pour la période 2026-2027 continue de susciter des…
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Dans la soirée du 5 juin, le Président Xi Jinping a reçu l'appel téléphonique du Président américain Donald Trump.
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(Par l’évangéliste Colin NZOLANTIMA)
Les pensées pentecôtistes ont été à la base de la restauration et du développement des communautés. Actes 2:1 «Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous…
Affaire aérodrome de Mulonde : Les ONG des droits de l’homme plaident pour la libération du chauffeur de Katumbi
Ils exigent « la libération sans condition du chauffeur de l’opposant congolais Moïse Katumbi, arrêté dans l’affaire de la réhabilitation de la piste de l’aéroport de Mulonde, dans le territoire de Pweto. Eux, ce sont les représentants de l’Institut de recherche en droits humains, Justitia ASBL et du Centre pour la justice et la réconciliation.
Ils ont, à cet effet, lu une déclaration hier mercredi 30 octobre, à Lubumbashi dans la province du Haut-Katanga.
Les représentants de ces organisations des droits de l’homme ont fait le tour dans les locaux carcéraux des services spéciaux. Ils en ont profité pour discuter avec les responsables de ces services pour être éclairés sur les raisons de l’arrestation de M. Kafutshi, le chauffeur de l’opposant Katumbi.
Un des signataires de cette déclartion, Me Hubert Tshiswaka affirme avoir appris que M. Kafutshi est accusé « d’avoir voulu participé à une forme de complot contre la surêté de l’Etat ». Faute des preuves de la part de leurs interlocuteurs, ils ont estimé que l’arrestation est arbitraire ».
D’où, demandent-ils aux services des renseignements militaires de libérer le chauffeur de Moïse Katumbi ou qu’il soit déféré devant son juge naturel.
Patient Mubiayi MBY